Le titre de cet article s'inspire de celui
d'un livre qui interpelle et attise la curiosité. Il est de prime abord
intéressant de se pencher sur l'introduction de la notion d'hétéro dans le
langage courant et sur l'importance qui lui est attribuée. Il est vrai que ce
mot n'est pas né de la dernière pluie, puisqu'il est issu du grec ancien, ἕτερος. Il intervient en principe comme préfixe d'un mot
dont il rentre dans la composition.
Étymologiquement, il signifie : autre, ou
l'autre. Pourtant, la rue, les médias aidant, on s'attend assez peu, lorsqu'il
est prononcé, à entendre une suite qui nous donnerait en entier le mot
hétérogène, terme courant malgré tout et antonyme d'homogène. On s'attendra
encore moins à l'entendre composer le terme d'hétérozygote, par opposition à homozygote,
respectivement associés à la reproduction par accouplement entre deux sujets
aux génomes distincts et à la reproduction asexuée, par mitose, comme chez les
amibes, par exemple, donnant à tous les coups des clones.
Paradoxalement, le préfixe hétéro suggère la
tolérance, l'acceptation de l'autre, la prédisposition à construire quelque
chose de solide avec quelqu'un qui est fondamentalement différent de soi, au
point qu'aucun degré d'identification à l'autre ne nous permettrait de nous
changer en ce qu'il est. C'est le cas de l'hétérosexualité, et c'est d'ailleurs
à ce concept que nous pensons par automatisme, sans aucune aide extérieure ou
aucun effort des méninges, formatés que nous sommes par les sujets que l'on
nous rabâche toujours dans nos oreilles.
Notre titre n'échappe pas à ce
conditionnement, pas plus que celui dont il s'inspire, et le lecteur averti par
ce même conditionnement a vu juste quand il ne s'est pas dit que le sujet du
présent papier virtuel ne traiterait pas de l'antinomie entre l'hétéronomie et
l'autonomie, bien que ce dernier terme ne présente pas la même graphie
préfixale.
Le danger de l'association
réflexe
Mais en quoi cela dérange-t-il que l'hétéro
soit toujours invoqué dès que l'homo est évoqué? Parce que la manipulation des esprits et des
mœurs les met sur un pied d'égalité, montant le dernier sur un piédestal,
puisqu'il semble que l'on ait affaire à une option binaire, issue d'une pensée
binaire, manichéenne, comme s'il s'agissait d'un choix a priori délibéré à
prendre dès l'adolescence, à l'instar d'un goût plus prononcé pour une couleur
que pour une autre. Votre préférence se porte-t-elle sur le bleu ou sur le vert
; sur la glace à la fraise ou à la
pistache ? «Non, moi, c'est plutôt les femmes», pourrait-on répondre après mûre
réflexion, en ajoutant presqu'un «quoique», comme s'il était mal vu de ne pas
laisser planer un doute.
Les délices au-dessus des règles
bienséantes
Et c'est là que le plaisir est hissé dans
l'échelle des valeurs au-dessus des principes moraux traditionnels, méprisés,
piétinés, et enfin diabolisés, à tel point que si vous êtes personnellement
parvenu à vous soustraire au bourrage de crâne, vous serez terrifié à l'idée
d'émettre la moindre opinion défavorable vis-à-vis de ce second choix.
Illustrons notre propos par une anecdote. Dans une école
laïque, un enfant juif ne consommait pas certaines viandes. Un jour, l'un de
ses camarades, non-juif, profondément peiné pour lui, s'arrangea pour lui faire
manger un morceau de porc à son insu, en le lui glissant discrètement dans son
assiette. «Alors, c'était bon?» «Ben oui, mais pourquoi tu me demandes ça?»
Rayonnant, l'ami triomphe, plus que satisfait de lui avoir prouvé qu'il avait
tort. Ce même ami ne comprit pas l'irritation morale et physique provoquée par
son aveu, à tel point qu'il se mit à penser qu'il était en butte à de la
mauvaise fois, comme si son voisin de table était incapable de reconnaître
qu'il avait tort.
Fort de son ingéniosité, ce même démarcheur en
dégustations parvenait pourtant à l'occasion à faire apprécier à d'autres amis
mangeant de tout la qualité du saucisson d'âne. Sa famille, anciennement
cynophage, lignée de bouchers, s'était reconvertie au début du XIXème siècle
dans le cheval, après qu'un dégoût généralisé eut saisi la population à
l'endroit des boucheries canines. Cette parabole se retrouve analogiquement
dans le phénomène de l'homosexualité. Un film belge de la fin des années deux
mille met en scène un éraste profitant d'un éromène sans que celui-ci n'y
trouve le moindre problème éthique, puisqu'il se fait expliquer que le plaisir
procuré par les pratiques de l'adulte est bien plus intense que ce que
produisent les capacités débutantes de sa petite amie dont il provoque la
rupture de la relation avec cet éphèbe.
Dans un atelier de désintoxication des idées
reçues par inculcation, pendant sa période de mission auprès des communautés juives
stationnées à l'étranger, la rabbanite D, installée de longue date à Jérusalem,
se heurte à l'égalisation des opposés imposée dans les cerveaux. Ce constat
dépassant largement l'entendement, elle se voit s'écrier avec retenue : «Mais,
non, ce n'est pas normal! Vous ne pouvez pas dire que c'est normal!» s'insurge-t-elle
lorsqu'elle s'entend dire qu'il ne s'agit que d'un choix entre deux options
équivalentes. Il aura fallu que l'une des participantes à l'atelier lui
explique : «Pour nous, ce n'est pas normal, parce que nous avons un système de valeurs
qui nous accompagne depuis le début de notre existence. Nous avons un code stable
et solide. Mais pour les autres, rien n'est stable, la morale se fait et se
défait, s'affirme ou se contredit. Un jour, tel principe incarne le mal, et un
autre jour, il incarne le bien. Ben tenez, chez les Grecs, par exemple, c'était
un honneur, ces pratiques. Elles étaient réservées à des gens influents et
distingués dans leur cité. Eh bien,
qu'ils disent et pensent ce qu'ils veulent. Je ne vois pas pourquoi on devrait
se prendre la tête avec eux. » La rabbanite en fut profondément songeuse et
dubitative. Pour peu que les valeurs s'inversent, après être passé par le point
d'égalité, et que le mariage hétérogène devienne interdit… sembla-t-elle se
dire interdite.
Ce qui normalise cet aspect de
choix
L'athéisation de la société n'est pas étrangère
à ce qui se produit aujourd'hui. Dans l'Antiquité, le culte idolâtre aux
multiples dieux favorisait la pédérastie. La palestre, cadre qui réunissait les
adolescents, dans la société grecque, servait d'une certaine manière de vivier
où se fournissaient les protecteurs précités, et était elle-même placée sous la
protection du dieu Hermès. Le polythéisme en tant que religion 'est pas le
garant de valeurs éthiques telles que nous les trouvons dans la Torah. Bien au
contraire, puisque nos Sages expliquent que l'engouement pour l'idolâtrie, qui
pouvait toucher aussi bien les membres du peuple ayant vécu la Révélation sur
le mont Sinaï, n'était pas motivé par une recherche d'une vérité parallèle,
mais bien par l'envie de se débarrasser du joug des commandements et de s'abandonner
à tous les délices charnels possibles, étant donné que les pratiques du Baal et
autres mentors libéraient totalement les mœurs, dans tous les sens du terme.
Dieu a créé l'univers et tout ce qu'il
contient. Il a donné à l'homme, ainsi qu'aux mammifères entre autres, l'ordre
de faire perdurer leur genre. Or, tout comme l'homme se doit de se nourrir – il
doit commencer par se maintenir lui-même avant de penser à se maintenir en tant
qu'espèce, du fait que son immortalité propre est limitée dans le temps – et tout
comme il est récompensé de cet entretien par la saveur contenue dans ses
aliments, il est pareillement motivé ou stimulé par la pulsion qui le pousse à
se reproduire et par la récompense, soit le plaisir et le contentement procurés
par l'accomplissement de l'acte impliquant ladite reproduction.
En revanche, tout comme les anciens Romains se
contentaient de la récompense liée à l'obligation de s'alimenter – il est vrai
qu'ils s'en acquittaient préalablement largement – (ce qui est connu du grand
public par le travail conjoint de Goscinny et Uderzo), à savoir la satisfaction
produite par le manger, étant donné qu'ils quittaient la table pour se faire
volontairement vomir pour faire de la place, le produit moderne de la société
se contente de la récompense inhérente au processus de la reproduction sans
s'acquitter de son devoir de reproduction.
En d'autres termes, il touche le salaire sans
fournir le travail. Cette démarche ne se trouve pas exclusivement dans cet
aspect de la vile. Le principe consistant à toucher de l'argent tout court
dépasse largement ce cadre et s'impose dans le monde du travail, qui perd son
sens premier et fait place au monde des prestations sociales. Est-ce l'appât du
gain sans effort qui crée la crise, ou la crise qui oblige les gens à survivre
par les aides sociales?
Toujours est-il que, dans un processus a
priori de reproduction où l'on a su profiter de la satisfaction des gestes qui
lui incombent tout en lui tournant le dos, dans un monde moderne où l'acte
reproducteur n'implique absolument plus l'idée de faire des bébés,
qu'importe-t-il sur le plan social, technique, etc., que l'on se mette à former
des couples hétéros ou des paires homos? Car ils sont nombreux les trucs et
astuces qui tournent en dérision les pulsions et récompenses qui, jusqu'à la
découverte des moyens contraceptifs pour tous, ont tout de même fait que
l'espèce humaine s'est maintenue à ce jour. De rares et clandestins, ces moyens
sont devenus répandus et légaux, et tout le monde a oublié que l'acte sexuel,
au niveau de son essence conceptuelle était concepteur ; il servait au départ à
faire que l'homme maintiennent son existence à travers les âges.
Par extension, stratégiquement parlant, si
vous avez une dent contre un pays, un peuple ou une société, le meilleur
conseil serait de l'inonder de moyens contraceptifs, au meilleur marché
possible, en effectuant en rase-motte des parachutages par exemple, voire en
lui donnant de l'argent, et de faire pression sur les autorités de ce pays pour
en obtenir non seulement la légalisation mais pour qu'il fasse en sorte qu'il
soit interdit de ne pas sortir couvert de tous ces moyens. Vous verrez comment
en très peu de temps, à l'échelle historique, vous aurez fait diviser par deux
ou quatre la population qui vous dérange, quand les irréductibles partisans du
principe selon lequel tout salaire s'accompagne de l'acquittement d'une
obligation se raréfieront.
L'homme a été dépassé par sa créature, le
progrès, par ses découvertes et ses inventions. L'intelligence n'a pas suivi,
et l'hébètement a fait place à la perspicacité sans que ne soient développées
des défenses. On n'est pas loin du thème suggéré par la science fiction qui
voit des humanoïdes supplanter leurs créateurs humains. Ici, c'est le
préservatif qui provoque à petit feu l'extinction de l'espèce humaine. Après
tout, elle récolte ce qu'elle sème : «Merci, mon Dieu, pour les mécanismes de
la pulsion et du plaisir, su stimulus et de la récompense, mais je ne m'en
servirai plus, à partir de maintenant, pour propager et maintenir ton image à
l'effigie de laquelle j'ai été créé. Donc, dégage.»
Et de la même façon que la créature a congédié
son Créateur – d'où le choix du terme athéisation et non de laïcisation, ce
dernier se rapportant plus à l'éviction de la mainmise presque deux fois
millénaires du clergé sur le cerveau et la liberté humaine – c'est au tour de
ce que l'homme a mis au point de provoquer son déclin.
Si un jour des extraterrestres débarquent sur la
terre, ils y trouveront l'empreinte des diverses civilisations humaines, du
Machu Picchu à la tour Effel. Etudiant cet environnement nouveau et désolé, ils
finiront par trouver un objet insolite, imperméable et visqueux, gaine qui se
déroule en s'allongeant, et s'écrieront : «Eurêka! C'est cette créature
pourtant inoffensive en apparence qui a anéanti la civilisation humaine».
Bien entendu, il ne s'agit pas ici de faire le
jeu des partisans politiques de la lutte intégriste contre la contraception à
n'importe quel prix. La surpopulation nuit certes à la planète et à ses
ressources, mais réduire le taux de natalité en Europe ne résoudra pas le problème
de la surpopulation, comme on le voit aujourd'hui, tandis qu'un trop fort dépeuplement,
s'il réussissait, risquerait bien de ne pas se contenter d'être néfaste sur une
simple période de transition, le temps que le vieillissement de la population
se résorbe à la longue.
En quoi le Grec ancien a-t-il
l'avantage sur l'Européen moderne? Ou comment le même comportement n'était pas chez lui
synonyme de désertification humaine
Comme l'a saisi le lecteur, il s'agit moins ici
de traiter la question sous l'angle de l'étique ou de la morale que sous les
aspects sociaux qu'elle implique. L'éraste de la société grecque menait en
parallèle une vie de famille. Son espèce se régénérait donc.
Quant à l'acte d'amour classique pour lequel
on ne retient que le plaisir sans s'acquitter de son devoir envers la pérennité
de l'espèce, un ancien Midrash cite à ce sujet un fait intéressant, qui montre
que non seulement les anciens n'avaient aucun retard technique sur la
conception des modernes, mais qu'ils savaient aussi travailler avec leur tête.
Aux premières générations de l'humanité, chaque homme engendreur était bigame.
Il avait une épouse pour fonder une famille, et une autre pour profiter des
plaisirs charnels, dont il condamnait la fécondité par un verre d'un élixir
définitivement contraceptif, «cos chel akarin», qu'il faisait boire à sa reine
de beauté.
Aujourd'hui, on ne travaille plus et on ne
raisonne plus que pour les aspects charnels de la personne. La situation est
tellement préoccupante qu'un médecin, un jour, déplorait que tous les efforts
de la recherche scientifique étaient concentrés sur les problèmes de l'érection
et de la longévité, et qu'on n'investissait pas le moindre centime dans le
solutionnement des problèmes cognitifs, du raisonnement et de la perte de la
mémoire, de sorte que nous devons nous attendre, dans un futur plus ou moins
proche, à vivre dans une société où les hommes seraient tous de très virils
centenaires ou bicentenaires ne sachant plus depuis longtemps à quoi peut bien
servir ce membre énorme qui se dresse au-dessus de leur entrejambe.
L'intelligence du pessimisme
D'aucuns
s'opposeront à ce constat, et justifieront la recherche exclusive du plaisir
séparé de la fonctionnalité du geste qui le génère, en arguant que c'est
précisément dans cette façon de vivre que se révèle l'acuité exceptionnelle de
l'intelligence de l'homme. Certes, une telle intelligence existe : c'est l'intelligence
du pessimisme qui ne voit pour avenir qu'une issue apocalyptique. Il s'avère
que cette intelligence est par excellence contre-productive, pour reprendre
vraiment à bon escient ce concept nouveau.
L'humanité a d'abord été, dans son époque
moderne, traumatisée par deux terrifiantes guerres mondiales. Comment les
sociétés humaines pouvaient-elles mourir et s'anéantir les unes les autres à un
tel rythme? Puis ce fut le tour de la guerre Froide, où les blocs Ouest et Est
rivalisaient en un macabre concours de qui était capable de faire exploser le
plus grand nombre de fois notre pauvre planète. Aujourd'hui, c'est le
réchauffement climatique, la pollution, l'effet de serre et l'épuisement des
ressources.
On comprend mal comment ce dernier acte du
pessimisme n'est pas contré par un frénétique instinct de survie traduit par
une véritable course aux énergies nouvelles. Pourquoi ne pas dire adieu le plus
vite possible à ce pollueur de pétrole, pourquoi ne pas passer tout de suite à
l'énergie solaire? C'est à croire que le pessimisme est devenu un dogme, un
tabou qu'il ne faut pas démolir. Ce pessimisme épicurien, au sens de la
philosophie de ce terme, reprend une autre idée grecque redevenue à la mode :
«Mange! Bois! Car demain tu mourras!» On en reprend la devise à peine modifiée
en passant de l'individu temporaire à l'ensemble de la race humaine : «Profite!
Fais-toi plaisir! Car c'est la dernière génération où c'est encore possible!»
Donc, pourquoi, puisque tout ira
inéluctablement plus mal, apporter une nouvelle génération de pauvres gens qui
n'ont pas demandé à venir au monde? Et le plaisir, qui peut nous donner des
leçons en nous imposant qu'il ne se réalise que par association hétérogène?
Le plaisir s'érode
D'une certaine manière, peut-on se dire, tout
est pour le mieux! Le monde va s'écrouler, on n'y peut rien de toute façon,
alors pourquoi s'en faire? Ça ne le rendra pas meilleur que nous nous
angoissions. Donc, on profite et on est heureux. Enivrons-nous, oublions les
problèmes de la planète, de la société, enivrons-nous au rythme des plaisirs de
la chair et essayons-nous à toutes ses formes ! Seulement, il y a un hic. Les
plaisirs les plus courts sont les meilleurs. «Tu as aimé le film?» «Oh, oui.»
«Alors, reste assis. Je vais te le repasser en boucle, en séance continue.
Quand tu l'auras vu cent fois, tu seras cent fois plus heureux. Après, je t'en
passe un autre».
Ridicule? Mais regardons autour de nous, c'est
pourtant exactement comme ça que ça fonctionne! Tout jeune, le produit humain
moderne vit ses premiers émois. Plus grand, il se met en couple. Puis, il
défait son couple et se refait dans un autre couple. Puis il se lasse de la
formule couple et passe à la formule paire. S'il se lasse trop vite, où
ira-t-il chercher ses prochaines sensations fortes? Ou alors, il subira un
contre-coup, il se lassera par avance de tous les plaisirs, et il restera chez
ses parents jusqu'à vingt ans, trente, quarante, et peut-être cent, avec les
progrès de la longévité, car tous les plaisirs sont érodés d'avance, et
qu'importe, puisque le virtuel y remédie. Pour un peu, on s'écrierait : «Le
virtuel ! Y a qu'ça de vrai ! » Une addiction toute nouvelle s'est imposée,
pour le plus grand bonheur des masses!
Concluons ici notre petit exposé. Alors,
sommes-nous des hétéros refoulés? N'aurions-nous pas étouffé au fond de nous
cette inclination débordante de vie et de tendance à donner la vie? Sûr que
l'admettre est effrayant. «J'ai aujourd'hui quatre-vingt-dix ans, je ne me suis
jamais marié pour ne pas imposer à une génération innocente les affres de
l'apocalypse. Et pourtant, la vie est belle, le monde est beau, il foisonne de
vie. La fin du monde n'est pas venue. Elle n'a pas anéanti les générations qui
auraient dû me suivre, c'est moi qui leur ai interdit la vie par trop de
pessimisme.» Certes, c'est dur de le reconnaître. Mais pour vous, lecteur, vous
qui avez entre vingt et cinquante ans, n'est-il pas encore temps de changer de
cap?
Je ne parviens pas à corriger un mot dans le texte, même après être entré sur la page de l'article et avoir cliqué sur la fonction "mise à jour".
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